Des exemples de libérations concrètes.
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Enora, 12 ans, paniquée à l’idée de rentrer dans sa classe, était prise d’envies de vomir. Après une séance, non seulement Enora vit sa scolarité sereinement, mais elle peut aussi rentrer dans une grande surface sans avoir peur.
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Georges, 60 ans, ne pouvait plus prendre les autoroutes. Après une séance il a retrouvé sa liberté de déplacement et peut s’insérer avec son véhicule sur une 4 voies sans aucune panique.
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Marie, 45 ans, ne pouvait plus répondre à ses clients au téléphone, « j’ai perdue ma confiance » dit-elle. Depuis sa séance elle parle maintenant au téléphone sans aucune appréhension.
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Bastien, 18 ans, tétanisé par la peur de passer son oral, a échoué son examen. « J’avais tout oublié, c’était comme un blanc dans ma tête. » Suite à sa séance de régulation, le rattrapage s’est passé sans aucune appréhension : « J’étais à l’aise devant le jury,je ne bafouillait pas et c’était clair dans ma tête » dit-il.
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Pour Isabelle, 30 ans, qui avait la phobie des oiseaux et des papillons, sortir dans son jardin ou aller se promener est un cauchemar. « Depuis ma séance, je peux enfin aller dans mon jardin, je laisse même les fenêtres ouvertes » témoigne-t-elle surprise.
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Michel, 55 ans, doit prendre l’avion régulièrement. « A chaque fois j’essaye de respirer, de me contrôler, mais je suis quand même pris de sueurs, je m’angoisse, je n’arrive pas à être détendu sur mon siège » dit-il. Après deux séances Michel peut enfin prendre l’avion sans paniquer.
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Philippe, 26 ans, doit faire régulièrement des prises de sang. “Je n’en dort pas la nuit, et lorsque l’infirmière me pique, je tombe dans les pommes ! » dit-il. Depuis sa séance, « non seulement je ne tombe plus dans les pommes, mais en plus, je supporte très bien les soins chez mon dentiste » témoigne-t-il.
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Marie, 35 ans, ne supportait pas d’attendre son fils pour aller à l’école. « Tous les matins, je suis en rage après lui, j’ai toujours peur de rater le bus et d’être en retard à mon travail. Maintenant, depuis ma séance, c’est vraiment plus tranquille, je réalise que je mettais une sacré pression à mon fils ».
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Pour Jules, 15 ans, nager où il n’a pas pied, c’est la panique et “la honte” auprès de ses copains. Depuis sa séance, Jules nage « comme un poisson ».